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divendres, 27 de maig de 2016 Philippe Martinez (CGT): «La modernité, c’est le progrès social, pas la loi travail!» Depuis l’annonce de son projet de loi dit travail, le gouvernement a refusé toute forme de concertation avec l’ensemble des organisations syndicales et singulièrement la CGT. Une réunion sur des sujets très larges et puis… plus rien ! D’ailleurs, la première version de ce texte n’a pas été remise en premier lieu aux organisations syndicales mais à la presse. La CGT dénonce un gouvernement qui impose des reculs sociaux successifs par la loi de sécurisation de l’emploi ou la loi Macron. La CGT dénonce un gouvernement qui se radicalise en bafouant d’abord la démocratie sociale, puis la démocratie politique avec l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale. La CGT dénonce un gouvernement qui se radicalise alors que 74 % de l’opinion publique se dit opposée au projet de loi travail. La CGT dénonce un gouvernement qui se radicalise alors qu’un mouvement social porté par quatre organisations syndicales de salariés et trois organisations de jeunesse dure depuis plus de deux mois. Sans compter le fait qu’un cinquième syndicat de salariés conteste de nombreux articles du projet de loi, dont l’inversion de la hiérarchie des normes. Plusieurs ministres, dont le premier d’entre eux en tête, refusent le dialogue et le débat de fond et ont fait le choix délibéré de l’invective et de l’autoritarisme en ciblant le premier syndicat de France, la CGT, et ouvrant ainsi la voie à la surenchère et aux insultes de la droite et de l’extrême droite. Le président de la République, le premier ministre et le ministre de l’Économie font la preuve qu’ils sont bien engagés dans un combat, mais un combat loin des réalités sociales du pays et des préoccupations des citoyens, celui de la candidature à l’élection présidentielle en 2017. Si la CGT salue l’annonce de mesures spécifiques aux jeunes faites par Matignon et obtenues grâce aux premières mobilisations unitaires, alors que le gouvernement fustigeait et dénigrait la jeunesse accusée de ne rien comprendre, elle ne peut que constater qu’elles n’ont rien à voir avec le projet de loi travail. La CGT sera pour autant vigilante à l’application concrète de ces mesures. Si la CGT salue les avancées dans un accord signé à l’unanimité des syndicats et du patronat de la profession du spectacle sur l’indemnisation du chômage, obtenues là encore par les mobilisations, elle ne peut que condamner l’opposition du Medef et le silence inquiétant du gouvernement. La CGT dénonce un texte guidé par la baisse du « coût » du travail qui donnerait moins de protection aux salariés et baisserait la rémunération. Ainsi, il faudrait précariser et licencier plus pour embaucher plus ? La CGT ne peut accepter que, avec ce texte, chaque employeur pourra comme il le voudra « faire sa loi » dans l’entreprise. Le principe de la dérogation au droit collectif deviendra donc la règle. C’est pour ces raisons que la CGT demande le retrait du projet de loi travail et l’ouverture de véritables négociations pour un nouveau Code du travail identique pour tous, basé sur : La mise en place du nouveau statut du travail salarié et de la Sécurité sociale professionnelle pour répondre aux enjeux du monde du travail d’aujourd’hui et de demain. C’est-à -dire des droits (emploi, carrière, reconnaissance des qualifications, formation professionnelle, protection sociale…) rattachés à la personne, évolutifs et progressifs qui empêchent tout retour en arrière et transférables et opposables aux employeurs. Dans le même temps, la CGT revendique de travailler moins, travailler mieux et travailler tous afin de concilier création d’emplois et progrès social. Parce que oui, la modernité, c’est le progrès social, c’est plus de droits et de sécurité pour l’ensemble des salariés et des citoyens. Pas un retour au XIXe siècle. C’est pour ces raisons que la CGT demande le retrait du projet de loi travail et demande l’ouverture de véritables négociations pour un nouveau Code du travail identique pour tous, raport l'Humanité. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT Cap comentari: China fabrica un autobús para 1.200 pasajeros que pasa sobre el tráfico Quedar atrapado en un atasco de tráfico puede ser una de las partes más frustrantes de viajar por una gran ciudad y algo ya crónico en todas ellas durante las cada vez más amplias "horas punta". Ahora los ingenieros en China, el país más poblado del mundo, han dado con una forma de aliviar el problema de moverse en el tráfico urbano. Los diseños del nuevo proyecto de autobús elevado han sido dados a conocer en una exposición de tecnología en China. Aparentemente será capaz de llevar a 1.200 pasajeros por encima de los coches y dejar que el tráfico pase por debajo de él. La relatividad del espaciotiempo llevada a lo cotidiano. El modelo a escala del “bus de tránsito elevado” (foto) se presentó esta semana en la 19ª China Beijing International High-Tech Expo. La idea es que los pasajeros se sienten muy por encima de otros vehículos en la carretera, lo que permitirá a los coches pasar por debajo. Es un modelo a escala del vehículo que circulará sobre raíles fijos incrustados en la carretera, un bus-tranvía. Así pues, el vehículo es más como un cruce entre un tranvía y un autobús. Los ingenieros esperan que el diseño aumente la disponibilidad del espacio vial y cause menos atascos de tráfico que los autobuses regulares, aliviando así el tráfico al mismo tiempo. También se espera ahorrar costes en comparación con otras opciones de transporte público, como el metro, cuya infraestructura supone un alto coste de construcción y una enorme alteración de la vida cotidiana durante la obra. Este diseño de autobús también inspiró a muchos desarrolladores de juegos a crear diferentes tipos de juegos con atascos de tráfico y transporte público. Los juegos que también te dan dinero real son definitivamente los más jugados. El proceso se hizo más fácil cuando los juegos online casino gratuitos se hicieron disponibles, sin necesidad de descarga. Ahora, casi todos los casinos en línea no ofrecen bonos de depósito y otras promociones exigentes. El modelo a escala del “bus de tránsito elevado (TEB)” se presentó esta semana en la 19ª China Beijing International High-Tech Expo. La idea es que los pasajeros se sienten muy por encima de otros vehículos en la carretera, lo que permitirá a los coches pasar por debajo. "Con una capacidad de carga de 1.200 personas a la vez, el TEB tiene las mismas funciones que el metro, mientras que su coste de construcción es menor de una quinta parte del del metro", dijo Bai Zhiming, ingeniero encargado de dicho proyecto en una entrevista en vídeo con CCTV. 'Su construcción se puede acabar en un año ", agregó. Las primeras pruebas del bus están programadas para iniciarse en la ciudad de Qinhuangdao, en la provincia de Hebei, norte de China, en la segunda mitad de este año. Esto significa que los autobuses podrían llegar antes de finales de año. Se espera así ahorrar costes en comparación con otras opciones de transporte público, como el metro. Las primeras pruebas del bus están programadas para iniciarse en la ciudad de Qinhuangdao, provincia de Hebei, norte de China, en la segunda mitad de este año, informa CCTV. Cap comentari: Anguita: "La reforma constitucional de 2011 es el símbolo que une a PP y PSOE" En presencia de Julio Anguita (Fuengirola, 1941), se tiene la inevitable sensación de que no pasa el tiempo por él. Salvo porque peina más canas en sus sienes y porque él se empeña en recordar que sus mañanas de jubilado comienzan a las 7.30 en punto haciendo ejercicio, "principalmente natación", o jugando al mus, es el mismo activista de siempre que contagia su pasión y entrega por la cosa pública. Salvo porque la hemeroteca no perdona, es difícil cre...